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Présentation du livre

“Organon - l'Art de la Guérison”

de Ekkirala Krishnamacharya

 

Organon - l'Art de la Guérison

L'homéopathie est une science humaine alliée aux principes de la Nature. Elle aide à rectifier le comportement des personnes, à restaurer une compréhension claire et à établir de bonnes relations avec ses amis et relations. Son objectif est de libérer la personne de pensées non désirées et d'impressions de vie personnelles hantantes qui conduisent à des maladies sérieuses. Le livre "Organon - l'Art de la Guérison" du Dr. Ekkirala Krishnamacharya donne tous les indices pour une rectification de soi, les règles pour maintenir la santé et les diverses causes des maladies, de concert avec le processus de traitement pour guérir les maladies.

Contenu : Introduction; fondamentaux pour un médecin; Symptômes - souffrance; Santé et maladie; Pouvoir curateur de la médecine; Maladies artificielles et naturelles; Lois naturelles du traitement; Autres méthodes de traitement et inconvénients; Qualités des médicaments; Classification des maladies; Description des maladies à miasmes; Préparation de la feuille de soin; Connaissance des médicaments; La connaissance de la cure; Traitement des maladies chroniques: Traitement des maladies mentales; Maladies Intermittentes; Application des médicaments.

Kulapathi Book Trust, Visakhapatnam, 2014-4.  ISBN: 978-93-82199-25-0

 

Le livre n’est pas encore publié en français, seulement en anglais et allemand.


Echantillon de lecture:

Fondamentaux pour un Médecin

1

Le Premier et le plus nécessaire des devoirs d'un médecin
est de restaurer la santé du patient. Cela est appelé la guérison.

Explication : Il est ici établi que le traitement est donné seulement au patient et non à la maladie; le traitement au patient signifie seulement de suivre la méthode de restauration de la santé et non de tenter d'ôter la maladie. La santé est un état d'harmonie évidente entre le corps et l'âme. C'est l'état naturel. Tout changement dans cet état est appelé maladie, mais il n'y a pas d'entité séparée de la maladie. En tant que tels, les médicaments ne devraient pas être utilisés pour les maux d'estomacs, les maux de têtes… qui ne sont seulement que le résultat d'une maladie. Les médicaments ne sont donnés que pour réguler l'état dérangé dans le corps du patient et ramener la normalité, non pour ôter la maladie. Une fois qu'un changement s'établit vers l'état originel de santé, les symptômes de la maladie disparaissent automatiquement.

Les médicaments ne devraient pas être utilisés pour la typhoïde, le diabète, les maladies de cœur… pour garder la nomenclature officielle. Les gens souffrants de ceux-ci auront des symptômes spéciaux. La totalité de ces symptômes doit être compilé sans se soucier des noms des maladies. On les trouvera dans la forme de traits spéciaux individuels chez chaque personne et non sous la forme des maladies. Cette totalité des symptômes représente la véritable maladie, qui n'est qu'un état de la personne et non une entité spéciale dans le corps. Si cela peut être analysé correctement, un médicament basé sur la totalité des symptômes similaire à la maladie est disponible dans le Materia Medica. Si ce médicament est utilisé en une concentration adéquate, la totalité des symptômes disparaitra et la santé sera restaurée. Toute la souffrance disparaitra. Dans ce contexte, on devrait s'intéresser à la différence entre Allopathie et Homéopathie.

1- En allopathie, le docteur sélectionne un médicament. En homéopathie, le patient (la totalité de ces symptômes) indique le médicament.

2 - En allopathie, différents médicaments sont utilisés pour différentes maladies. Il arrive qu'on utilise plusieurs médicaments en même temps. En homéopathie, un seul médicament est utilisé en accord avec la totalité des symptômes. On en change seulement lorsqu'il y a un changement de la totalité des symptômes. Il n'y a rien comme l'utilisation de deux ou plusieurs médicaments simultanément ou l'usage de mélanges, de toniques, d'injections…

3 - Aucun traitement chirurgical n'est nécessaire pour ceux qui suivent des traitements homéopathiques depuis leur enfance. La chirurgie n'est nécessitée que pour ceux qui ne pouvant obtenir de traitement adéquate compte tenu de l'avancée de la maladie ou qui dépasserait le stade d'un traitement oral. Cela dit, la chirurgie n'appartient ni à l'allopathie ni à l'homéopathie. C'est une aide supplémentaire.

4 - En homéopathie, lorsque la première dose améliore le problème, il n'y a pas besoin d'une seconde dose. Au moment où les souffrances cessent, on devrait arrêter le traitement.

5 - Les blessures extérieures, les brûlures… ne sont pas des maladies. Les applications externes ne sont pas acceptées en homéopathie sauf en cas de blessures extérieures.

2

Le traitement idéal consiste en une guérison rapide, douce et permanente de la souffrance du patient d'une façon facilement explicable.

Explication

Rapidité :
En cas de piqures de scorpion, de morsure de serpent,
d'empoisonnement alimentaire, de choc électrique… le médicament devrait sauver le patient en termes de minutes et secondes. Dans le cas de choléra, le médicament devrait travailler en termes de minutes, les fièvres devraient être inversées en quelques heures ou jours. Les fièvres telles que la typhoïde devraient être réglées en une semaine. Si le traitement n'est pas scientifiquement adapté, que le cas est mélangé ou compliqué, cela peut prendre plusieurs semaines. Le traitement pour les maladies chroniques telles que l'Asthme, T.B… cela peut prendre de quelques mois à des années. Certaines personnes ressentent que les médicaments homéopathiques travaillent doucement et ne sont pas utiles lors de maladies sérieuses et graves pour guérir immédiatement. Cela est incorrect. La vitesse du médicament dépend de la vitesse de la maladie. Sinon, le médicament travaille proportionnellement à la même vitesse que celle de la maladie.

Douceur :
Cela signifie que ne sont pas autorisés la chirurgie, brûler, ôter les verrues, les amygdales…
par application de produits chimiques, de presser le sang et le pus par des moyens mécaniques, l'application de sangsues pour tirer le sang… Tout cela est désuet et augmente la souffrance. Il existe aussi d'autres méthodes comme brûler avec des noix de cajou, la biopsie, les rayons X, le traitement au radium, au cobalt, aux ultra et infra rouges… qui sont dangereux par nature. Il en va de même pour les chocs électriques aux malades mentaux. Ces méthodes bestiales ne diminuent pas seulement la vitalité mais causent aussi des dommages à la constitution et donc après, aucun médicament ne pourra marcher.

Permanent :
Le mal de tête est soulagé par l'Aspro mais revient ensuite.
Si on utilise Magnesium Sulph, l'estomac est clarifié par un mouvement libre mais la constipation revient ensuite. La Malaria est supprimée par la quinine mais revient à nouveau. De cette manière, si l'on use des médicaments encore et encore, la maladie progresse. Dans le même temps, il résulte de l'usage fréquent de médicaments que de nouvelles maladies fleurissent. Cela n'est point la méthode pour guérir. L'homéopathie n'accepte pas une telle pratique.

Une façon facilement explicable :
On devrait être capable d'expliquer comment on a examiné le patient
et être en position d'élucider la façon dont on a décidé d'un médicament. L'examen pathologique du sang, des urines, des selles n'est qu'un effort fait par une façon scientifique pour nommer une maladie, mais ne conduit pas au retrait de la souffrance ou à la guérison de la maladie. L'analyse du sucre, du sperme, des cellules de pu… n'indiquent qu'un diagnostic technique d'une maladie et ne sont utiles seulement que pour augmenter la renommée et le nom du docteur, mais ne peuvent ôter la souffrance du patient.
 

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Synthèse
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